9 Oct

Remboursez vos crédits à la consommation pour l’achat d’un appartement en vente à Meaux !

Vous voudriez acheter un appartement à Meaux ? Êtes-vous au courant ? Depuis cet été, les banques ont resserré leurs conditions d’octroi de crédit. Davantage de dossiers de prêts sont refusés. La raison ? Les banques respectent strictement les recommandations du Haut conseil de stabilité financière. L’une des recommandations est de limiter l’endettement à 33 % des revenus. Autrement dit, cela signifie que l’ensemble des charges de remboursement (mensualité de crédit à venir et autres crédits en cours) ne doit pas dépasser 33 % des revenus nets imposables.

« Si la recommandation de ne pas dépasser un endettement de 33 % de ses revenus a du sens pour limiter le risque de non-remboursement en cas de coup dur, de baisse de salaire ou de perte d’emploi, elle conduit parfois à des refus de crédit pour des emprunteurs qui ont pourtant un reste à vivre suffisant ou de l’épargne permettant de faire face à une baisse de salaire, constate Sandrine Allonier, porte-parole et responsable des études chez Vousfinancer. Notamment dans les profils d’emprunteurs refusés, dont les revenus et l’apport sont en hausse par rapport à 2019. »

Vous voulez acheter un appartement à Meaux ? Pour respecter les critères imposés par le HCSF, il n’y a qu’une stratégie : réduire votre endettement ! Vous avez des crédits à la consommation ? Remboursez-les ! Et faites appel si possible à l’aide familiale pour augmenter ou compléter votre apport personnel, de façon à diminuer le montant emprunté et l’endettement.

« De plus en de plus nos clients ont recours à l’aide familiale pour compléter leur apport… Notamment ceux qui veulent acheter dans les grandes villes et ont besoin d’un apport suffisant pour compléter leur crédit et acheter la surface nécessaire pour y vivre sans faire exploser leur taux d’endettement. Parfois 10 000 € suffisent à faire la différence sur un dossier et faire repasser l’endettement sous la barre des 33 %. Ça vaut le coup de demander !», complète Sandrine Allonier.

C.V. / Bazikpress © Adobe Stock

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